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le blog des communistes et sympathisants de Ploemeur et Larmor-plage
26 août 2015

fête de l'humanité 2015

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27 juillet 2015

les requins à l'assaut de la Grèce

GRECE ET REQUINSdessin de COCO, extrait de l'humanité du 27 juillet 2015

3 mars 2015

DEPARTEMENTALES 2015, Le programme

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14 novembre 2014

REFORME TERRITORIALE, LE HOLD-UP DEMOCRATIQUE

Un lien salutaire pour comprendre la réforme territoriale.

http://www.dailymotion.com/video/x2a077c_ep-25-le-hold-up-democratique_news

 

hold dup démocratique

14 novembre 2014

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18 septembre 2014

GAD, UNE REACTION

Gaëlle Abily

Monsieur le Ministre, ces ouvrières sont dignes et fières….et notre rôle est de trouver des solutions, pas de les stigmatiser !

jeudi 18 septembre 2014

Gaëlle Abily Vice-Présidente de la Région Bretagne, Membre du Haut Conseil à l’égalité femmes-hommes a condamné les propos du ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, qui avait déclaré que "les salariées de Gad sont pour beaucoup illettrées".

Monsieur le Ministre, ces ouvrières sont dignes et fières….et notre rôle est de trouver des solutions, pas de les stigmatiser !

Ni erreur de jeunesse, ni maladresse, cette phrase du Ministre de l’économie illustre simplement le sexisme ordinaire.

La réalité des salarié-es des entreprises de l’agroalimentaire est précaire, le modèle productiviste français a très certainement vécu. C’est indéniable, mais à qui incombe cette responsabilité ? Certainement pas aux salarié-es.

Ce n’est pas l’illettrisme qui est la cause des difficultés des femmes et des hommes salarié-es, de l’entreprise Gad. La fermeture de l’usine de Lampaul-Guilmillau et les annonces récentes quant aux sites Morbihannais sont le résultat de choix politiques et économiques ultra-libéraux qui opposent les salariés de l’agro-alimentaire entre eux, qui exacerbent la concurrence entre les entreprises de l’agro-alimentaire européen au détriment des salarié-es et des territoires concernés.

Ce n’est pas d’excuses dont ont besoin les femmes, mais de réponses précises à leur situation. C’est pour cela que nous sommes élu/es.

La question, c’est comment changer cette sombre réalité comment outiller les salariés peu qualifiés, les chômeurs et les précaires pour qu’ils puissent se remobiliser professionnellement et faire face à la nécessaire mutation de nos territoires.

Que de mépris pour ces femmes qui ont cru en leur entreprise, qui se sont levées très tôt pour obtenir leur salaire, qui ont dû bien souvent assurer l’organisation familiale et parfois leurs parents âgés, qui sont des actrices de la vie de leur cité et qui ont été en première ligne du combat syndical pour sauver leur entreprise. Oui, Monsieur le Ministre, ces ouvrières sont dignes et fières….

Les paroles peuvent être dévastatrices et alimenter les pires comportements de rejet, repli, racisme et sexisme. Et pourtant en Bretagne des collectivités territoriales mènent des politiques publiques plus justes pour les femmes et les hommes, parce qu’il s’agit bien ici d’égalité, de justice sociale et de choix politiques. Monsieur Emmanuel Macron travaillez vos représentations. En Bretagne, nous ne renonçons ni à l’ambition publique, ni à traduire dans les faits l’égalité entre les femmes et les hommes.

1 septembre 2014

RENTREE SCOLAIRE

Pour nos enfants, nous voulons le meilleur :

NOUS VOULONS L’ÉGALITÉ !

 

Un projet pour l’école, c’est un projet pour la société. Nous voulons combattre les inégalités, en finir avec la concurrence généralisée et construire des réponses collectives aux défis de l’avenir. Nous voulons l’école de l’égalité !

 Le savoir est un pouvoir. Maîtriser des connaissances complexes, c’est ce qui permet de maîtriser son travail, d’être un citoyen actif dans la démocratie, bref, de ne pas subir et de choisir sa vie. L’école n’a pas à faire le tri entre ceux qui auront ce pouvoir et les autres. Au contraire, elle doit donner à tous les moyens de s’approprier des savoirs complexes.

 Il est temps d’en finir avec l’école de la sélection. Est-ce bien une affaire de « mérite », si ce sont toujours les mêmes qui accèdent aux plus grandes écoles et qui, par la suite, accaparent le pouvoir dans la société ? Non ! C’est simplement le signe qu’il faut changer l’école, pour qu’elle cesse de reproduire et d’aggraver les inégalités.

 Tous les enfants sont capables d’apprendre. On dit que certains enfants ne sont pas faits pour l’école… mais c’est l’école qu’il faut changer pour qu’elle fasse réussir tous les enfants : nous voulons l’école de l’égalité !

 Nous voulons du temps pour apprendre :

le droit à la scolarité dès 2 ans pour toutes les familles qui le souhaitent, le rétablissement des heures d’école supprimées par la droite, une scolarité obligatoire prolongée de 3 à 18 ans.

 Nous voulons une réforme des programmes,

pour construire une culture commune ambitieuse pour tous. Il faut en finir avec les objectifs différenciés selon les élèves : les programmes pour les uns, le socle pour les autres. L’école doit enseigner tout ce qui est nécessaire pour réussir à l’école, sans se reposer sur les familles, le soutien scolaire ou les cours privés.

 Nous voulons des personnels qualifiés et maîtrisant leur métier.

Il y en a assez des enseignants non remplacés, des infirmeries fermées, du manque de personnel qui fait de l’accueil des élèves handicapés un parcours du combattant… Les enseignants doivent avoir le temps de se former, avant d’entrer dans le métier et tout au long de leur carrière. Pour tous les personnels de l’éducation, il faut en finir avec la précarité, recruter pour répondre aux besoins et favoriser la stabilité des équipes.

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LES RYTHMES SCOLAIRES : UN PROBLÈME NATIONAL !

La droite avait supprimé une demi-journée d’école aux élèves : voilà qui ne risquait pas d’aider l’école à réduire les inégalités. Et maintenant, le gouvernement socialiste impose aux collectivités locales de prendre en charge cette demi-journée ! Selon où ils vivent, les enfants auront droit à des activités de qualité ou à une simple garderie, à des loisirs gratuits ou payants…

 L’État doit rendre aux enfants les heures d’école qui leur ont été volées. Il doit également inscrire la réforme dans un cadre national et garantir la gratuité des activités périscolaires proposées. Il doit garantir le statut et la formation des animateurs.

 À partir des réalisations des communes, construisons un grand service public national du loisir éducatif : pour des activités de qualités, gratuites, pour tous et partout.

 4 MESURES URGENTES POUR L’ÉCOLE DE L’ÉGALITÉ.

 L’État doit garantir la gratuité de l’éducation pour tous.

Y compris au lycée et dans les filières professionnelles et technologiques, où le matériel est parfois très coûteux. Les fonds sociaux des établissements doivent être revalorisés pour faire face aux besoins, les bourses multipliées, les transports scolaires organisés et gratuits.

 Dans les quartiers, dans les villages, un même droit à l’éducation.

La concurrence règne entre les établissements et entre les familles. La course au « bon » lycée, à la « bonne » filière, à la « bonne » classe ne profite à personne. Il faut rétablir une carte scolaire et reconstruire un service public national, assurant le droit à l’éducation pour tous, sur tout le territoire.

 Des personnels qualifiés partout, pour tous.

La réussite de l’école passe par la formation et la stabilité des équipes éducatives. Il faut d’urgence créer des postes et redonner aux jeunes l'envie d’entrer dans les métiers de l'enseignement, en revalorisant les salaires, en améliorant les conditions de travail, et donnant une véritable formation initiale et continue.

 Pour une même formation, une qualification commune.

Dès maintenant, l’État doit garantir qu’une même formation débouche sur une même qualification. Cela passe par le renforcement des diplômes nationaux et la reconnaissance de toutes les années d’étude dans les conventions collectives.

 Tout cela nécessite des moyens. Dépenser pour l’éducation, c’est investir dans l’avenir !Il faut en finir avec l’austérité et développer tous les services publics, pour construire une société où la mise en commun et le partage remplaceront la guerre de tous contre tous. C’est le projet que portent les communistes : ensemble, nous pouvons le réaliser.

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FÊTE DE L’HUMANITÉ, les 12, 13 et 14 septembre 2014

La Fête de l’Humanité sera le grand rendez-vous populaire et politique de la rentrée

Ce sera bien sûr celui de la jeunesse, de celles et ceux qui luttent, le rendez-vous des communistes, du Front de gauche et au-delà de toute la gauche qui ne renonce pas face aux politiques libérales. Ce sera le rendez-vous du vrai débat, le rendez-vous des idées neuves pour, ensemble, conquérir une véritable alternative. Retrouvons-nous y nombreux !

Fédération du PCF du Morbihan 70 bis, rue Marcel Sembat 56600 Lanester - tél : 02 97 21 01 26 – mail: pcf56@wanadoo.fr

23 août 2014

15 aout, non au travail les dimanches et jours fériés

Manifestation à l'initiative du PCF, avec la participation du Parti de gauche, le 15 août à Lorient.

Parmi-eux des ploemeurois.

Nous avons affiché notre refus de l'extension de la règlementation permettant ces ouvertures, préconisée par le gouvernement et le MEDEF;

DIMANCHE

DIMANCHE 1

31 juillet 2014

ILS ONT TUE JAURES !

JAURES

21 juillet 2014

HALTE AU MASSACRE EN PALESTINE !

gaza-27juillet

Dans la nuit du17 au 18 juillet Israël a déclenché une initiative armée terrestre contre Gaza.

Dans ces circonstances dramatiques, plus que jamais, le PCF appelle les femmes et les hommes de France épris de paix et de justice à se rassembler partout en France aux initiatives du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Israéliens et Palestiniens. A écrire , mailer, faxer , inonder le ministère des affaires atrangéres , le président de la République pour leur demander d'agir pour un cesser le feu et pour l'application du droit international

La disparition et l'assassinat sauvage de 3 jeunes des colonies israéliennes en juin a donné lieu à un déferlement de violences de l'armée israélienne dans les territoires palestiniens de Jérusalem-Est, Cisjordanie et Gaza. Le gouvernement de Netanyahou a appelé à un déchaînement de haine ce qui a encouragé les assassins du jeune Mohamad Abou Kheir, enlevé, torturé et brûlé vif à Jérusalem-Est par des fanatiques. Le premier ministre israélien a déclenché l'opération « barrière de protection » qui est une véritable action punitive contre tout le peuple palestinien. Prétendant combattre le Hamas auquel il fournit un prétexte pour verser dans la violence, Israël mène en réalité la guerre au peuple palestinien tout entier. Le but réel du gouvernement israélien est de briser l'unité palestinienne retrouvée.

Nous sommes affligés par la manière dont la voix de la France a été portée par François Hollande au plus fort des bombardements israéliens sur Gaza, faisant à ce jour plus de 231 civils tués et 1600 blessés palestiniens. Les déclarations du chef de l’État ont d'abord été explicitement pro-israéliennes, puis marginalement « neutres » renvoyant à tort chacun dos à dos. Elles sont surtout totalement vides d'initiative politique pour contribuer à une solution pacifique.

Cette stratégie meurtrière d'Israël vise à délégitimer l'Autorité palestinienne et affaiblir le nouveau gouvernement mis en place le 2 juin. Rien ne justifie le déluge de violence de l'armée israélienne qui s'est abattue sur la population civile prise au piège par le blocus à Gaza, mais aussi sur les habitants de Cisjordanie et de Jérusalem-Est. Le gouvernement Netanyahou doit répondre de ses actes devant la communauté internationale laquelle doit impérativement ouvrir la voie à de vraies négociations.

La diplomatie française ne peut continuer cette « politique du laisser faire ». . La solution est connue : deux peuples-deux Etats souverains, dans les frontières de 1967, Jérusalem-Est pour capitale de l'Etat palestinienne et le respect scrupuleux de toutes les résolutions de l'ONU.

Seules des sanctions, comme la suspension des accords d'association entre l'Union européenne et Israël peuvent efficacement contraindre Benyamin Netanyahou à renoncer à la poursuite de la colonisation et engager son pays dans des accords de paix durables.

La reconnaissance par la France de l’État palestinien et l'appui à l'initiative politique de l'autorité palestinienne dans son effort d'entente nationale mettraient à mal l'impunité dont jouit depuis trop longtemps le gouvernement israélien. C'est avec cet objectif que la diplomatie française doit agir. Car tant que cette impunité durera, tant que l'humiliation et la violence dont les Palestiniens sont la cible dureront, les partisans palestiniens et israéliens de la paix seront fragilisés.

 En France, les usages malsains, intolérants et racistes organisés par certains groupes extrémistes n'ont pas leur place dans le soutien au peuple palestinien. Ils ne peuvent pas non plus servir de prétexte pour étouffer la voix de la France solidaire et pacifiste.

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