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le blog des communistes et sympathisants de Ploemeur et Larmor-plage
5 octobre 2013

CONSEIL MUNICIPAL DU JEUDI 3 OCTOBRE, LA DROITE AFFICHE LA COULEUR

CONSEIL MUNICIPAL DU JEUDI 3 OCTOBRE,

LA DROITE AFFICHE LA COULEUR

 

Spectateur du dernier conseil municipal, j’ai souhaité réagir aux propos entendus au cours de la séance.

Beaucoup de questions étaient à l'ordre du jour. La droite ploemeuroise a souhaité en faire une tribune pour les projets néfastes qu'elle va présenter aux prochaines élections municipales.

Un rapport de la cour des comptes positif pour la gestion de la commune souligne les nombreux services rendus à la population

Le rapport de la cour régionale des comptes sur la gestion de PLOEMEUR de 2009 à 2012 a rassemblé l'essentiel du discours des représentants locaux de la politique de M.Sarkozy et autre Coppé ou Fillon.

Privatisation des services, réduction drastique des investissements, disparition des tarifs sociaux, ouverture de la commune aux spéculateurs, les recettes de la Droite

Il est à noter que les intervenants de la Droite ont eu des appréciations différentes de ce rapport

Pour l'un, M.Camusard,  il a souhaité faire dire au rapport le contraire de ce qu'il avance: la pression fiscale sur les habitants, du fait de la commune, aurait progressé de manière conséquente, ce qui est faux.  Pour l'autre, M. Tonnerre, ne pouvant trouver dans les analyses, ce qui lui permettrait de critiquer, il est allé souligner ce qu'il nomme les insuffisances du rapport (absence de remarques sur des investissements divers) mettant ainsi en cause les magistrats. Pas de surprise pour l'essentiel, ils sont d'accord pour vilipender la politique du logement, les services rendus à la population et les investissements qu'ils jugent démesurés. Ils sont all »s jusqu’à faire dire au rapport le contraire de ce qu’il énonce.

Derrière ces discours politiciens se dégagent les futures orientations des 2 listes de Droite pour la prochaine échéance: repli de la commune sur elle-même, concession des services au secteur privé, projets "public-privé", réduction drastique de la dépense avec un contour très limité de l'intervention de la commune. Ils veulent laisser "au marché" la place libre afin qu'il se développe et s'enrichisse. Terrains, espaces de loisirs, spéculation sur les logements, prise en charge payante sans tarifs sociaux des activités culturelles et de loisirs. Cette politique serait dramatique pour la population et coûterait très cher à chacun.

Malgré les obstacles, peser pour poursuivre et amplifier les choix engagés

Ces discours qui s'appuient sur le mécontentement provoqué par l'imposition nationale trop forte que subissent les ménages aux revenus modestes, sur une augmentation de la TVA qui touche les uns et les autres sans distinction et sur les promesses non tenues dui gouvernement socialiste ne recouvrent pas la réalité locale. Celle-ci est bien différente et c'est heureux.

De cette Droite aux affaires de la commune, nous n'en voulons pas. A contrario, sans augmenter la pression fiscale, nous souhaitons l'amplification de la politique du logement social, la continuité des services rendus à la population au meilleur prix, par la gestion publique et donc des services publics. Nous souhaitons même l'extension de ceux-ci afin de réduire les coûts. Un service public intercommunal de l'eau, des déchets, du transport n'a pas à payer les dividendes des actionnaires sur la facture des administrés.

Pour y parvenir, un obstacle important se profile à l'horizon, celui de l'austérité que le gouvernement veut imposer aux communes. La place de chacun dans les résultats électoraux de mars 2014, donnera les contours du Ploemeur de demain.

 

Michel LE MESTRALLAN, chef

Chef de file du front de gauche à Ploemeur

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9 octobre 2013

UNE LISTE POUR CONSTRUIRE A GAUCHE A PLOEMEUR

Les communistes, les élus, les sympathisants du Front de gauche s’adressent à vous :

Pour mieux vivre tous ensemble à Ploemeur, face à la crise et aux politiques d’austérité, face aux appétits de la droite et du FN

 

FAITES ENTENDRE VOTRE VOIX, CONSTRUISONS A GAUCHE !

 

 Chômage, pouvoir d’achat, retraite, précarité…les conditions de vie des Ploemeuroises et des Ploemeurois ne cessent de s’aggraver, comme celle de nombreux français.

Pourtant nous avons chassé N. Sarkozy. Les communistes, avec le Front de gauche, y ont activement contribué. Et nous avons été 52% à Ploemeur, à élire un nouveau Président de la République sur la promesse du « changement maintenant ».

Plus d’un an après, nous partageons votre déception et votre colère : la rupture annoncée n’est pas au rendez-vous. Faute de courage pour s’attaquer à la Finance, à l’évasion fiscale et aux pouvoirs des patrons du CAC40, le gouvernement reste prisonnier de la loi de l’argent.

Et 10 députés du Front de Gauche, à l’Assemblée nationale, ce’ n’est pas assez pour faire entendre la voix des salariés !

Alors, que fait-on ensemble ?

Il faut, d’urgence, gagner un changement de cap à gauche ! Les communistes, avec le Front de gauche, sont de toutes les mobilisations

Pour la Retraite, pour l’augmentation des salaires, contre les suppressions d’emplois et les attaques sur le Code du travail, contre la guerre en Syrie. Les élu-es communistes, à tous les niveaux, de la commune au Parlement, se battent, à vos côtés, dans ce sens.

Et déjà les élections municipales approchent.

Elles conditionneront une bonne part de votre vie quotidienne dans les 6 années à venir : les Municipalités sont « en première ligne » face aux difficultés sociales et économiques de la population.

La question est donc posée: face à la loi de l’argent, face au chômage, face aux politiques d’austérité, notre commune sera-t-elle un lieu de résistance, d’entraide, de solidarité, de vivre-ensemble ?

Sera-t-elle un élément de protection des plus fragiles, un espace favorisant l’égalité de tous, un outil de développement de l’activité locale, de réponse aux besoins des habitants ? Sera-t-elle un rempart contre la crise et l’austérité ?

Depuis sa défaite de 2012, la droite rêve de reconquête et a engagé de grandes manœuvres avec l’extrême-droite. Pas question des laisser appliquer leur politique dans notre commune !

A l’inverse, il faut renforcer une vraie majorité de gauche à Ploemeur, forte de sa diversité et de ses différentes sensibilités.

Il faut renforcer les services publics locaux dont on nous vante le rôle « d’amortisseur social » dans la crise, et donner un nouvel élan à la démocratie locale et à l’intervention citoyenne !  Ils nous coûteraient moins cher que les dividendes versés aux grandes entreprises des secteurs concernés.

Pour cela, vous avez besoin d’élu-es qui se battent pour vous pour l’Ecole, le logement, l’emploi, les transports, la réindustrialisation de notre agglomération, la planification écologique. Vous avez besoin d’élu-es qui disent haut et fort que la démocratie locale est un bien précieux qui ne supportent pas l’hégémonie et l’absence de transparence, en particulier, alors que les communautés d’agglomération prennent tant de place. Vous avez besoin d’élu-es à vos côtés, qui vous aident à conquérir, y compris par la lutte quand il le faut, des droits nouveaux dans tous les domaines de la vie !

Les élu-es communistes et républicains, avec le Front de gauche, sont de tous ces combats.

A Ploemeur depuis 1995, soit 3 mandats, les communistes sont associés à la gestion municipale. Nous agissons avec les socialistes majoritaires et le Maire pour construire une ville plus solidaire, plus agréable à vivre. Nous sommes présents, avec nos spécificités, dans les orientations décidées. Nous assumons ce bilan. La construction de nouveaux logements, le quotient familial, la défense de l’Ecole publique, la promotion du sport et de la culture, l’équilibre entre les quartiers, le maintien et le développement des services publics, etc…ont été des dossiers majeurs de cette mandature dans lesquels les élus communistes et républicains ont pris toute leur place.

Si nous partageons nombre des orientations actuelles, nous manifestons des différences aves nos alliés : La politique du logement social, indispensable pour la justice et l’avenir de la Ville ne va pas assez loin dans la présence du locatif. La présence des opérateurs publics n’est pas suffisante.

La démocratie locale doit être accentuée, le travail des élus, de tous les élus, avec la population doit être amélioré.

 La sollicitation de l’avis de la population sur les dossiers importants doit être un préalable à toute réalisation importante.

Une véritable planification écologique nécessite des mesures, à l’échelle de l’agglomération, beaucoup plus ambitieuses.

Le fonctionnement de l’intercommunalité, avec désormais 12 compétences déléguées, est une question majeure de cette campagne. Nous pensons que cette intercommunalité est une chance  sur certains dossiers qui nécessitent une autre échelle que celle de la commune, mais l’extension à marche forcée des champs d’intervention peut s’avérer désastreuse. L’exemple de l’eau, avec une dégradation du service rendu (absence d’information, retard dans les réponses et surtout dégradation de la qualité) est à cet égard caricatural. Les politiques communautaires doivent être débattues dans les communes. La diffusion d’un journal ne peut suffire pour faire le bilan des actions conduites.

A Ploemeur, une voix originale,  à gauche, peut se faire entendre,

  Faîtes le choix de vos idées.

 Nous constatons de grandes différences d’appréciation avec le Maire socialiste et son parti sur la politique nationale et les risques qu’elle fait peser sur l’avenir de la commune.  Dans l’impossibilité, malgré nos sollicitations, de discuter d’orientations municipales avec le parti socialiste et son Maire, nous prenons la décision de constituer une liste de large ouverture à gauche et nous faisons appel à tous les citoyens qui partageraient nos valeurs pour la construire. Venez avec nous enrichir un programme ouvert, construit avec les Ploemeurois-es. Nous serons présents dans les quartiers et à l’entrée des entreprises à cette fin.

Pour nous joindre ou nous rejoindre, écrivez-nous à pcfploemeur@gmail.comou rendez-vous sur notre blog ploemeurpcf.canalblog.com.

3 novembre 2013

Déclaration des organisations syndicales de salariés CGT, Solidaires et FSU de Bretagne

·      La Bretagne souffre du fait de sa situation économique et sociale. Les pans industriels de la région sont mis à mal par des restructurations et des suppressions massives d’emplois dans tous les secteurs.

Les organisations syndicales participent, à leur niveau, à freiner les conséquences de cette catastrophe.
Ce gâchis engendre colère, désespoir et mécontentement. Cette détresse monte partout en France et doit alerter les pouvoirs publics sur la réalité sociale du pays.

Pour les organisations syndicales, c’est le signal d’alarme d’une situation qui ne peut plus durer, et dans laquelle, le gouvernement devrait avoir un rôle majeur pour redonner confiance, par des actes, aux salariés licenciés et ceux qui ont un emploi.

La Bretagne n’est pas en dehors de l’augmentation du chômage et de la misère. Cette restructuration de l’industrie est d’autant plus grave qu’il n’est rien prévu, ni par les licencieurs, ni par les pouvoirs publics, pour permettre aux salariés de continuer à vivre d’un travail.

Les politiques d’austérité imposées par l’Europe, ses pays membres, en rajoutent à la situation dans cette crise dont les conséquences sont déjà bien lourdes pour les salariés, les retraités et les privés d’emploi.

C’est pour cela que les organisations syndicales de salariés mobilisent pour le maintien de l’emploi industriel, au quotidien, mais aussi lors de manifestations interprofessionnelles.

Le discours antifiscal de certains acteurs des mobilisations en cours s’appuie sur des réalités. Au lieu d’une urgente réforme fiscale, le gouvernement impose de plus en plus les ménages, d’où une légitime incompréhension. Pour autant, les actions violentes sur médiatisées ne relèvent pas d’un mouvement social de salariés.

Le détournement du mécontentement, réel, d’une grande partie de la population à des fins politiciennes met en cause l’intégrité et l’indépendance des salariés dans un combat qui n’est pas le leur.

Les « bourreaux » sont aux commandes de cette manœuvre et se servent de leurs victimes pour faire en même temps bouclier et bélier. Ils voudraient que les salariés oublient qu’ils ont toujours soutenu les politiques néolibérales responsables de la crise actuelle et que leur « modèle agricole breton » est aujourd’hui une faillite économique, sociale et environnementale.

Les manipulations sont lourdes puisque ce sont les « seigneurs de jadis » qui portent maintenant le bonnet rouge contre le peuple. Les initiateurs de la manifestation du 2 novembre à Quimper ne portent pas les revendications des salariés.

La casse industrielle est un gâchis pour l’économie, mais aussi et surtout pour les femmes et les hommes.
Aujourd’hui ce sont ceux qui licencient qui veulent en découdre avec le gouvernement. Ce combat n’est pas celui des salariés, non pas parce que le gouvernement ferait bien son travail, mais parce que ce qu’exigent les meneurs de cette manifestation, c’est d’aller encore plus loin dans leur stratégie de destruction sociale.

Rares sont les moments d’histoire où les patrons cassent, manifestent et refusent le dialogue. C’est aussi un signe fort que cette agitation porte en lui des germes qui dépassent largement l’écotaxe, même suspendue.

Pour permettre aux salariés de se retrouver, pour faire valoir leurs exigences, pour s’opposer aux fermetures des entreprises, à la casse des services publics et de la protection sociale qui ont comme conséquence des suppressions d’emplois, les organisations syndicales de la région Bretagne C.G.T., Solidaires et F.S.U. appellent l’ensemble des salariés, et ceux qui s’associent à leurs combats, à se rassembler : le samedi 2 novembre à 15 heures place du Champ de Foire à Carhaix.

Rennes, le 30 octobre 2013

10 avril 2014

RYTHMES SCOLAIRES, 30 MAIRES S'ADRESSENT AU NOUVEAU MINISTRE

Monsieur le Ministre,
Vous venez d'être nommé ministre de l'éducation nationale
dans un contexte difficile pour la gauche.
En répondant aux attentes populaires,
en portant une refondation
de l'école au service de la réussite de tous,
vous pouvez donner un nouveau souffle à la gauche.
Dès maintenant, vous pouvez faire
un geste fort pour montrer que vous avez entendu
la déception et la colère des enseignants,
des parents et de l'ensemble des acteurs de l'éducation:
revenez sur la réforme des rythmes éducatifs
imposée par le précédent gouvernement. Cette réforme ne permet pas de répondre
aux aspirations de nos concitoyens
à une éducation ambitieuse pour leurs enfants.
Cette réforme n?est tout simplement pas une réforme de gauche. En tant que maires, nous sommes confrontés aux difficultés
et aux contradictions de cette réforme.
Malgré l'engagement des habitants de nos communes,
des élus, de l'ensemble des acteurs de l'éducation
et du loisir éducatif
nous ne pouvons trouver une manière satisfaisante
de l'appliquer.
C'est pourquoi nous vous demandons de ne pas
nous en imposer l'application à la rentrée 2014.
Le chantier de la réflexion sur les temps éducatifs
doit être réouvert
dans une clarification des spécificités
et des fonctions de chaque espace,
dans le dialogue et la négociation
avec l'ensemble des acteurs concernés. Nous en sommes convaincus, l'école de la réussite
de tous doit se faire
durant le temps scolaire obligatoire
assuré par l'éducation nationale.
C'est la condition de l'égalité sur tout
le territoire national.
Au contraire, la réforme des rythmes éducatifs
favorise la territorialisation de l'éducation
et porte en elle l'accroissement des inégalités
entre les communes et donc entre les enfants du pays.
Elle installe la confusion entre les missions
du service public d'éducation nationale
et celles du périscolaire,
la concurrence entre les enseignants et les animateurs,
au détriment de la qualité de l'éducation apportée
à nos enfants. Elle prétend oeuvrer pour que tous les enfants aient accès
à un loisir éducatif de qualité.
C'est une belle ambition, mais que cette réforme
ne permet en rien de réaliser.
Elle fait en effet du temps périscolaire
un substitut aux heures d'écoles supprimées par la droite.
Or, les loisirs éducatifs sont un domaine spécifique,
différent de l?éducation scolaire.
Enseignant et animateur sont deux métiers distincts
qui ne doivent pas être mis en concurrence. En outre, sur ce plan du loisir éducatif aussi,
la réforme des rythmes entérine les inégalités
entre les communes.
D'autant qu'elle nous est imposée à l'heure où les collectivités ont
de plus en plus de difficultés à établir leur budget
pour faire face aux besoins et aux attentes
d'une population touchée par la crise. Dans nos villes, nous agissons et continuerons à agir
pour assurer à tous les enfants l'accès à un loisir éducatif de qualité
et leur permettre de se construire dans un environnement culturel riche.
Pour assurer l'égalité sur tout le territoire,
c'est à l'État d'intervenir :
à partir de ce que font déjà les communes, construisons ensemble
un grand service public national déconcentré du loisir éducatif. Depuis des mois, nous échangeons avec
la population de nos villes sur cette réforme.
Nous en retenons trois choses : le grand attachement
de nos populations au caractère national de l'éducation scolaire
et à la réussite de leurs enfants, leur « non de gauche »
à la déstructuration libérale de l'éducation qu'on veut nous imposer,
et la richesse de leurs propositions pour construire enfin
l'école de la réussite de tous. Entendez-les !
Dominique Adenot, maire de Champigny, président de l'ANECR, Alain Audoubert, maire de Vitry sur Seine, Pascal Baudet, maire d?Aubervilliers, Françoise Beaud, maire de Valenton, Marie-France Beaufils, maire de Saint-Pierre-des-Corps, Patrice Bessac, maire de Montreuil, Éric Boquet, maire de Marquillies, Gaby Charroux, député-maire de Martigues, André Chassaigne, maire de Saint-Amant-Roche-Savine, Stéphanie Daumin, maire de Chevilly-Larue, Patrick Douet, maire de Bonneuil-sur-Marne, Patricia Fernandez-Pédinielli, maire de Port-de-Bouc, Jean Flegeo, maire de Saulx les Chartreux Pierre Gosnat, maire d'Ivry, Didier Guillaume, maire de Choisy le roi, Maryvonne Hautin, maire de Saran, Michel Illac, maire d'Ensuès-la-Redonne, Florence Jardin, maire de Migné-Auxances, André Jullien, maire de La Bouilladisse, Georges Jullien, maire de Noves, Yves Mesnard, maire de Roquevaire, Pierre Mingaud, maire de La Penne-sur-Huveaune, André Molino, maire de Septèmes-les-Vallons, Claude Nowotny, maire de Thiers, Didier Paillard, maire de Saint-Denis, Patrick Pin, maire de Belcodène, Gilles Poux, maire de La Courneuve, Philippe Rio, maire de Grigny, Georges Rosso, maire du Rove, Patricia Tordjman, maire de Gentilly.
24 avril 2014

RENTREE SCOLAIRE 2014, LE COMPTE N'Y EST PAS !

De nouvelles fermetures de classes prévues pour la rentrée 2014

 

A Ploemeur, plusieurs postes sont menacés de fermeture à la prochaine rentrée.

En maternelle, 1/2 poste à la châtaigneraie (qui fait suite à une suppression, équivalente à la rentée 2013), 1 poste à Saint-Exupéry,

En primaire 1 poste à J.Prévert-R.Desnos et réduction de la décharge du Directeur

La faiblesse de la dotation de l’Etat pour le Morbihan est en cause. En effet, avec une prévision de 20 élèves en plus et 2 postes en moins, le compte n'y est pas.

La nécessité de reconstituer le vivier des remplaçants ne peut justifier l’augmentation des effectifs par classe.

C’est pourtant l’argument utilisé pour fermer des postes en milieu rural, pour limiter le nombre des enfants de moins de 3 ans en maternelle, pour supprimer les 3 postes des Centres Médico psycho pédagogiques (CMPP).

Parler d'amélioration du remplacement en fermant des postes ailleurs et en augmentant les effectifs par classe, ne peut être satisfaisant.

Personne ne pourra faire croire aux parents que les conditions d'enseignement vont s'améliorer.

Des créations de postes dans le pays, mais des besoins loin d’être satisfaits

 

Le gouvernement Hollande avait promis de remettre 60 000 postes d’enseignants sur les 77 000 supprimés durant les années Sarkozy. Trois rentrées plus tard, nous sommes loin du compte et les fermetures de classes continuent.

L’école tout entière est touchée avec de lourdes conséquences pour les plus fragilisés de ses élèves.
Dans l’affectation des nouveaux personnels, ma priorité ira aux écoles maternelles et primaires » (Le changement c’est maintenant p. 25 et 26)

Tout cela se fait sous couvert d’une réduction de la dette publique.

Alors qu'il est possible de trouver 30 milliards pour le patronat, il n'y aurait pas de moyens pour l'Ecole.

Une nouvelle politique nationale de l’éducation, assurée par le service public, est nécessaire et nous apportons notre totale solidarité aux parents d’élèves et aux enseignants qui se mobilisent pour le maintien des classes menacées de fermeture.

Un impératif, une politique locale du logement permettant l’installation de jeunes ménages

Cette situation nationale et locale est amplifiée par la baisse continue des enfants en âge de scolarisation sur notre commune. Il est urgent d'inverser la tendance en mettant en œuvre une politique de l'habitat dynamique permettant l'installation de jeunes ménages. Nous invitons tous les Ploemeurois à regarder avec vigilance les premières mesures que prendra la nouvelle équipe municipale.

Parents, commerçants, citoyens soucieux du développement harmonieux de Ploemeur, nous estimons nécessaire que la politique du logement de notre Ville donne toute sa place à ceux qui aujourd’hui ne peuvent rester ou s’installer à Ploemeur.

Ploemeur, le 15 avril 2014

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2 mai 2014

HOLLANDE-VALLS L'AUSTERITE SANS HESITATION

50 milliards de coupes budgétaires, les cadeaux aux patrons qui continuent, les services publics à la moulinette... plus personne ne peut décemment nommer de gauche le pacte de responsabilité du gouvernement. A l'assemblée nationale, l’hostilité à ce projet a traversé tous les groupes de gauche, y compris le groupe socialiste. Tous les députés Front de gauche et une grande majorité d'EELV ont voté contre. 41 députés socialistes ont refusé de le cautionner. Ce plan n'a pu passer qu'avec la complicité du centre. La droite en a fait l'éloge. Pas étonnant, il s'inscrit dans le droit fil de la politique de Nicolas Sarkozy.

Manuel Valls est passé sur l'autre rive en assumant une politique de droite

A la tribune de l'Assemblée nationale, le Premier ministre a répondu à la fronde de députés socialistes par quelques aménagements cosmétiques mais l'affront à notre pays, aux familles, aux fonctionnaires et aux retraités est assumé crânement.

Pour la première fois sous la V° République, un chef de gouvernement issu d'une majorité parlementaire de gauche défend une politique dont la droite et le patronat avaient rêvé sans jamais espérer aller aussi loin, aussi brutalement.

Un âge d'or pour les entreprises, sans contre-partie, payé sur le dos du monde du travail et des plus fragiles. Une hémorragie de 50 milliards d'euros dans la dépense publique et sociale pour moins de service public, de solidarité et d'égalité de traitement, le dynamitage en règle de la protection sociale et de la démocratie locale.

Il n'y aura pas  « d'apaisement » avec une telle orientation comme y invite M.Valls mais une aggravation rapide et dangereuse de la crise politique, sociale et économique. « Ce qui empêche d'installer la confiance », c'est une politique de droite alors que le changement, en 2012, avait été annoncé à gauche. Le premier ministre lui est passé sur l'autre rive en assumant une politique de droite : celle d'une austérité à perpétuité.



CONTRE LA LOI DE LA FINANCE EN FRANCE COMME EN EUROPE

L'HUMAIN D'ABORD

LE 25 MAI VOTONS FRONT DE GAUCHE



26 mai 2014

RENTREE SCOLAIRE 2014, Arrêtez les pas de tango !

Un positionnement politicien

Nous assistons depuis quelques jours à une série d'interventions pour demander le maintien du ½ poste de professeur des écoles de la châtaigneraie dont la fermeture est programmée pour la rentrée 2014.

D'une part, celle de Loïc Le Meur, conseiller général socialiste dont le gouvernement porte l'entière responsabilité de cette décision et, d'autre part, celle de l’équipe municipale dont les amis ont supprimé 77,000 postes durant leur dernier mandat à la tête de l’État.

L'école de la Châtaigneraie, des fermetures répétées

Nous aurions aimé lire et entendre M. Loas et M. Le Meur protester de ces fermetures, dès l'an dernier, à l'occasion de la fermeture d'un autre ½ poste, à la rentrée 2013.

Il est évident que la situation spécifique de cette école qui assure l'accueil d'enfants déficients doit être prise en compte. Il en va de la qualité de l'accueil de tous les enfants.

A Ploemeur, plusieurs autres fermetures de postes sont programmées

En maternelle, en plus de la châtaigneraie, 1 poste à Saint-Exupéry (Lomener/Kerroch)

En primaire/maternelle 1 poste à J.Prévert-R.Desnos et réduction de la décharge du Directeur

La faiblesse de la dotation de l’État pour le Morbihan est en cause. En effet, avec une prévision de 20 élèves en plus et 2 postes en moins, le compte n'y est pas.

Les conditions d'accueil de tous les enfants vont souffrir de ces fermetures.

Plutôt que de danser aujourd'hui un tango effréné sur cette question, il est nécessaire d'afficher plus d'ambition pour l’École, de concentrer les moyens en postes et financiers de la commune pour nos écoles publiques.

La nécessité de reconstituer le vivier des remplaçants ne peut justifier l’augmentation des effectifs par classe.

Personne ne pourra faire croire aux parents que les conditions d'enseignement vont s'améliorer.

M. Loas, un impératif se dégage, une politique locale du logement permettant l’installation de jeunes ménages

La situation nationale est amplifiée par la baisse continue des enfants en âge de scolarisation sur notre commune. Il est urgent d'inverser la tendance en mettant en œuvre une politique de l'habitat dynamique permettant l'installation de jeunes ménages. Nous invitons tous les Ploemeurois à regarder avec vigilance les premières mesures que prendra la nouvelle équipe municipale.

Parents, commerçants, citoyens soucieux du développement harmonieux de Ploemeur, nous estimons nécessaire que la politique du logement de notre Ville donne toute sa place à ceux qui aujourd’hui ne peuvent rester ou s’installer à Ploemeur.

Ploemeur, le 24 mai 2014

1 août 2014

STOP A L'escalade meurtrière à GAZA

Après trois semaines de bombardements sur Gaza et le massacre de plus de 1300 palestiniens, le premier ministre israélien Netanyahou vient de promettre

« une longue campagne militaire », soit disant pour détruire tous les tunnels de Gaza . C'est, en fait, un ordre à peine voilé à son armée d'anéantir tous les

sites gazaoui, de chasser les habitants. Dix enfants palestiniens sont assassinés tous les jours selon un rapport de l'Unicef , sur les plages, dans les écoles ,

sur les aires de jeux... Un hôpital vient d'être bombardé, la centrale électrique alimentant les habitants et infrastructures de Gaza dévastée.

L'objectif poursuivi par le gouvernement israélien est clair : il veut rendre impossible toute solution de

paix respectant le peuple palestinien dans sa souveraineté et sa dignité.

Face à cette escalade des bombardements et du nombre de civils palestiniens morts, blessés et déplacés, le président des États-Unis et l'ONU ont

enfin réagi auprès du 1er ministre israélien en appelant au cessez le feu immédiat et durable et sans conditions préalables. C'est un premier pas, trop

timide et largement insuffisant, mais qui montre que les mobilisations partout dans le monde , les actes diplomatiques de certains pays, les prises de

positions, les appels de personnalités, artistes , intellectuels , politiques .. et le vote favorable à une commission d'enquête sur les crimes de guerre

commis à Gaza par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, peuvent faire bouger la communauté internationale pour un cessez le feu, l'arrêt des

massacres et une solution de paix. Mais les pressions internationales sur le gouvernement israélien sont trop faibles et balbutiantes pour qu'il

renonce à son objectif meurtrier. La situation d'urgence et l'horreur qui perdurent à Gaza appellent non à de simples déclarations mais à

faire respecter le droit international, tout le droit international. Il faut faire appliquer les résolutions de l'ONU et user des sanctions économiques et

diplomatiques au service d'une résolution politique de ce conflit . C'est la seule voie pour que le gouvernement israélien entende raison.

Le PCF appelle le gouvernement français à sortir de son mutisme, synonyme de complicité et à s'engager pour stopper le massacre et utiliser les

moyens de sanction envers le gouvernement d’Israël , saisir le tribunal de la Cour Pénale et agir pour la suspension immédiate des accords d'association et de

coopération bilatéraux et européens avec Israël, afin de créer les conditions d'une paix juste et durable entre la Palestine et Israël . Il ne s'agit pas seulement,

même si ce geste est appréciable, de débloquer une aide humanitaire pour les palestiniens . Plutôt que d'interdire des manifestations, de diviser notre peuple

en communautés ou de criminaliser les militants pacifistes , le chef de l’État et le premier ministre devraient entendre les appels et relayer les

mobilisations populaires qui depuis trois semaines s'expriment régulièrement pour le droit, la justice et la paix .

Le PCF appelle les communistes et tous les militants engagés dans la solidarité avec les palestiniens à intensifier la signature de l'appel des cents

personnalités françaises et européennes : des dizaines de milliers de signatures ont été collectées ces jours ci, et à participer , avec le Collectif National pour une

paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens,aux manifestations et actions à venir dans toute la France en veillant à écarter toute forme de violence et

de racisme qui ne peuvent que nuire au rassemblement et à la cause palestinienne.

7 août 2014

urgence GAZA

    HALTE AU MASSACRE

ARRÊT DE L’INTERVENTION

ISRAÉLIENNE À GAZA

MARCHE POUR GAZA

VENDREDI 8 AOÛT

 18h : départ de l’Espace Cosmao à Lorient

19h : rassemblement place Aristide Briand

 

    27 jours de bombardements, plus de 1800 palestiniens tués, plus de 9000 blessés, des centaines d’habitations détruites ou endommagées, des écoles (y compris de l’UNRWA), des hôpitaux, des mosquées et des ambulances bombardées. 

  La situation dramatique à GAZA ne peut laisser indifférents.>  

Ensemble demandons :

 - L’arrêt immédiat des bombardements et de l’intervention au sol sur Gaza

La levée du blocus de Gaza

La fin de l’occupation et le démantèlement des colonies.

Une solution politique basée sur le respect des principes du droit international

 - Pour qu'enfin les deux peuples palestinien et israélien  puissent vivre en paix et en sécurité dans des frontières reconnues et acceptées par tous.

 - La protection par l'ONU de l’ensemble des territoires occupés : Gaza, Cisjordanie et Jérusalem Est

 La liberté de manifester notre solidarité avec les peuples persécutés.

  
 À l'appel de : AFPS (Association France Palestine Solidarité du pays de Lorient), Mouvement de la Paix 56, UD CGT56, PCF56, MRAP56, CRISLA, ASFG5.56 (Association des sympathisants du front de gauche de la 5° circonscription du Morbihan), PG (Parti de Gauche 56), FSU 56, Comité de Jumelage d’Hennebont, Syndicats SOLIDAIRES, SUD Education, EELV Pays de Lorient, UJFP (Union  Juive Française pour la Paix), ARAC (Association Républicaine des Anciens Combattants), un groupe de jeunes citoyens du Pays de Lorient, Association culturelle turque du Pays de Lorient, ACIL (Association culturelle islamique du pays de Lorient). NPA56 et NPA Quimperlé  >  

 

10 octobre 2014

pour le peuple ou pour le business ?

PRO-BUSINESS NON

PRO-PEOPLE !

Manuel Valls est allé déclarer sa flamme aux financiers de la City de Londres en annonçant que son gouvernement était « pro-business ». Quelques semaines auparavant il avait fait allégeance aux patrons français en révélant « J'aime les entreprises » à l'université d'été du Medef, puis à Berlin, devant un parterre d'industriels allemands, le Premier ministre traduisait sa ritournelle en allemand : « Ich mag die Unternehmen ». Avoir un Premier ministre qui sait parler de nombreuses langues étrangères, c'est bien. Ce serait mieux encore s'il aimait le peuple. Malheureusement, le peuple ne peut compter sur aucun cadeau du gouvernement : baisse des prestations familiales, du pouvoir d'achat, augmentation de la fiscalité et du chômage.. Les cadeaux c'est pour les actionnaires, les patrons et le business : Valls signe les chèques,   6,5 milliards en 2015, 8 milliards en 2016, 5,5 milliards en 2017, qui s’ajoutent aux 20 du CICE. 

 Aux actes citoyen-nes !

 Le 16 octobre à l'appel de leurs syndicats, des dizaines de milliers de salarié-es manifesteront pour dire : « L'austérité ça suffit ! Non au pacte de responsabilité » et pour exiger des mesures immédiates pour le progrès social, défendre et améliorer notre protection sociale. ». Ils auront le soutien du PCF et du Front de gauche.

 La peur doit vite changer de camp

La colère est d'autant plus grande que des solutions et des forces existent pour une autre politique. Le temps est venu pour tous ceux qui refusent ce cap suicidaire d'entrer en action, de débattre et d'agir en commun, de rassembler la gauche et le peuple pour construire une autre politique. Avec les millions de Français qui se sentent aujourd'hui trahis par les choix gouvernementaux, des fronts larges d'action et de solutions doivent maintenant se constituer partout dans le pays pour la relance sociale, la justice fiscale, la lutte contre les gâchis de la finance, les créations d'emplois utiles aux services publics, au logement, à l'industrie et à la transition écologique, et pour la 6e République.

Le changement, c'est possible

• Il est urgent et possible d’en finir avec une société de l’hyper-concurrence, de libérer l’économie et le travail du poids du capital. Les salaires et l’emploi sont des richesses et non un coût. Les banques doivent financer la relance sociale et plus la finance.

• Il est urgent et possible de reconquérir notre industrie, de développer un nouveau modèle productif au service de l’emploi et de la transition écologique. L’état doit mobiliser tous les moyens pour cela.

• Il est urgent et possible de réaliser l’égalité des droits pour tous, développer les services de proximité, garants de cette égalité. Les services publics sont un atout qu’il faut développer et non affaiblir.

• Il est urgent et possible de redonner le pouvoir aux citoyens, de construire une république de la citoyenneté : la VIe République. La casse de nos territoires doit cesser.

• Il est urgent et possible de rompre avec cette Europe du fric et de refonder un projet européen, de coopération et non de concurrence. La France doit se battre et non se plier devant Angela Merkel et les états-Unis.

Rassemblons-nous

Les communistes lancent un appel à toutes celles et tous ceux qui refusent l’impasse et l’injustice de la politique actuellement menée, qui ne veulent pas du retour de la droite, encore moins de l’extrême droite, qui aspirent à sortir de l’austérité et construire un projet de gauche d’alternative aux choix du gouvernement Hollande/Valls. Les forces politiques, sociales et citoyennes existent pour soutenir un tel projet.  

A toutes et tous, nous disons : « Ouvrons le dialogue, le chantier commun de la construction de ce projet ». Et agissons ensemble sans tarder. Il est temps, grand temps que se lève un Front populaire, un Front large, un Front du peuple. Partout, entrons en dialogue, mettons-nous au travail, en action sous toutes les formes possibles, dans tout le pays, à tous les niveaux, pour décider la politique de gauche que nous voulons faire gagner maintenant et en 2017. Le temps est venu de ce grand rassemblement.

Reconstruisons pour la France, un projet de gauche et d'alternative au libéralisme !

  UN MILLION DE CARTES - INONDONS L'ELYSEE

SIGNONS LA CARTE PETITION A HOLLANDE

Sur les marchés, dans les quartiers et les entreprises ou par internet : http://www.pcf.fr/59827

 

25 octobre 2014

démission de Loïc Le Meur, la réaction de Michel LE MESTRALLAN

DECLARATION de Michel LE MESTRALLAN, conseiller municipal

 Je viens d'apprendre la démission de Loïc Le Meur de tous ses mandats et en particulier de celui de conseiller municipal de la ville de Ploemeur.

Je salue cette décision difficile et lui souhaite bonne chance dans ses nouvelles activités.

 Au cours des 3 mandats pendant lesquels mes amis et camarades ont eu à travailler avec Loïc Le Meur au sein de l'exécutif municipal, ils ont pu apprécier son engagement pour  la ville. C'est le travail commun des femmes et hommes de gauche, dans sa diversité, qui a permis de construire cette ville solidaire, chaleureuse et ouverte.

 Nous n'avons pas toujours été d'accord, en particulier dans la période récente. La politique gouvernementale que soutient Loïc Le Meur nous a conduit à ne pas partager certaines décisions et orientations. En mars 2014, au 2ème tour, nous avions néanmoins fait le choix de poursuivre une union devenue difficile pour éviter la victoire de la droite à Ploemeur. Face au mécontentement national et local, nous n'avons pas réussi à atteindre l'objectif. 

 Quant à moi, je poursuis le mandat que nous ont confié les ploemeurois. Je suis bien décidé à défendre les intérêts des femmes et des hommes de la commune. Au jour où les repères et les engagements sont reniés par le gouvernement et le parti socialiste et alors que des décisions locales de la majorité de droite confirment toutes nos craintes pour l'avenir, je m'efforcerai de défendre et promouvoir des mesures résolument à gauche, celles de la justice sociale et de la solidarité, celles de l'écologie et d'une démocratie renouvelée.

 Pour y parvenir, j'appelle tous les ploemeuroises et les ploemeurois à se rassembler dans l'action et la construction de mesures alternatives aux mauvais coups que nous subissons. Si nous travaillons, avec mes amis pour réfléchir, proposer et agir, nous avons besoin du plus grand nombre. C'est par le travail collectif que nous parviendrons à reprendre un chemin positif. Nous provoquerons rapidement des rencontres avec tous les citoyens(nnes) intéressé(e)s.

 Tous ceux qui refusent l'austérité, qui n'acceptent pas que les services publics, gages d'équité et d'accès du plus grand nombre aux services proposés par la ville, soient bradés, qui exigent que les mesures écologiques nécessaires pour l'économie et l'avenir de la planète soient prises et qui demandent que leurs voix soient entendues me trouveront à leurs côtés.

 Je serai de tous les futurs conseils municipaux et de toutes les mobilisations pour aller vers la satisfaction de ces objectifs.

 Michel LE MESTRALLAN

le 24/10/2014

28 novembre 2014

CONSEIL MUNICIPAL, 20 novembre, la contribution de Michel LE MESTRALLAN

A l'occasion du débat sur la préparation budgétaire 2015, vous trouverez ci-dessous, la contribution de notre conseiller municipal.

CONSEIL MUNICIPAL DU 20 NOVEMBRE 2014, DECLARATION DE MICHEL LE MESTRALLAN

CONSEILLER MUNICIPAL, liste « Ploemeur, construisons un avenir durable » soutenue par le PCF, le Front de Gauche, EELV, des citoyens de gauche sans appartenance politique

Monsieur le Maire, mesdames, Messieurs,

Nous sommes confrontés à un moment décisif de la vie municipale, celui de la préparation budgétaire.

Nous ne sommes pas déçus par les propositions que vous nous faites. Elles sont au diapason de ce que l’on pouvait attendre d’une équipe résolument à Droite. Vos choix sont politiques, pour ceux qui nous disaient être venus pour faire de la gestion…

1.     La baisse des dotations voulue par le gouvernement Hollande

Vos propositions d’orientation sont, il est vrai, placées dans le contexte d’une austérité décidée par le gouvernement, d’une austérité imposée aux collectivités, celles-ci étant  rendues responsables du déficit budgétaire et de la dette alors que nous savons  que la dette cumulée des collectivités territoriales, toutes collectivités réunies, ne représente que 8.9% de la dette de l’Etat. Et que ces mêmes collectivités représentent 70% de l’investissement public. Investissement dont nous venons d’apprendre que c’est grâce à lui que le PIB du 3ème trimestre a progressé de 0.3%.

En décidant de réduire de manière drastique les dotations aux communes, la ville de Ploemeur va perdre 450 000 € en 2014 et 1,4 million à l’horizon 2017. Sur ce constat, M. Loas, nous sommes d’accord. C’est bien la seule chose qui nous rapproche mais pas du tout  pour les mêmes raisons.

Ces baisses sont mises en place pour permettre de verser aux entreprises les 40 milliards d’euros du pacte de responsabilité, sans contrepartie, sans contrôle réel sans discerner entre les entreprises qui en ont réellement besoin et qui investissent dans le pays et celles qui profitent de cette aubaine pour servir un peu plus leurs actionnaires.

La première chose à faire Monsieur le Maire serait de protester contre cette austérité source d’inégalités, source de chômage, source de misère pour bon nombre de familles. Le  coup de gueule que vous évoquez dans la presse est bien faible. Il l’est d’autant plus que vos amis réclament non pas 40 milliards de baisse de la dépense publique mais 150 milliards. Le double langage est difficile à tenir. Informez la population, dites-lui pourquoi notre ville va devoir subir cette baisse très importante de ses capacités à agir.

2.     A cette austérité imposée s’ajoutent des choix de gestion des ces 8 mois de pilotage de la commune qui rendent la préparation budgétaire complexe

En décidant  de fermer la ZAC et de revoir le PLU, vous avez été contraint d’utiliser 2 millions d’emprunt pour 2014. Vous ne devez cette mauvaise décision à personne, elle relève de choix politiques que vous avez faits. Cessez de vous cacher derrière les décisions de l’Equipe précédente et assumez vos décisions.

La capacité à emprunter pouvait permettre de préparer 2015 dans de meilleures conditions, vous l’avez gaspillée en 2014.

Pire, en décidant de fermer les ZAC, c’est l’arrivée rapide de populations nouvelles, éligibles à l’imposition locale que vous avez gâchée, ce sont des droits de mutation qui ne rentreront pas dans les recettes.

2014 va être synonyme, pour la commue,  d’un emprunt de 3.5 millions d’euros, vous engagez les ploemeurois dans la spirale d’une dette considérable.

nous sommes bien loin du propos récent tenu à un journaliste évoquant le besoin d’un endettement faible. Votre stratégie repose sur le double langage.

3.     Vos orientations sont dramatiques pour les habitants, pour les employés communaux

C’est à la page 9 de ce bordereau n°8 que se trouve l’essentiel de ce qui nous attend

« Tous les leviers permettant de réduire la rigidité structurelle de ces charges (la masse salariale) devront être étudiés. Ils porteront sur le périmètre des services publics locaux, le non remplacement systématique des départs à la retraite, la réflexion sur un schéma de mutualisation avec l’intercommunalité, l’externalisation de certaines missions, la lutte contre l’absentéisme médical des agents, le moindre recours aux agents contractuels. »

Toute la gamme des orientations libérales est déclinée.

Les ploemeurois doivent le savoir,  derrière ce discours il faut entendre la fin de la solidarité, de la justice sociale dans les prestations communales, l’élévation des tarifs, des services rendus passant de la sphère publique vers le privé et l’associatif avec les aléas et les coûts induits par ces choix.

Vous voulez réduire la masse salariale mais les coûts pour les ploemeurois, eux ne baisseront pas, ils augmenteront. Dans le budget communal, certaines dépenses vont passer de la masse salariale à celle des prestations de service.

Les personnels communaux constituent la cible de votre politique. Votre discours emphatique à leur égard ne peut plus dissimuler, avec ces orientations, vos intentions réelles. Vous en faites le cœur de vos intentions. Certains, les personnels non titulaires en particulier,  vont aller grossir les rangs des chômeurs.

M. le Maire, où sont vos promesses de campagne ? Diminuer le chômage, poursuivre le haut niveau de services au public…

 4.  Il est possible de faire autrement

Bien sûr qu’il convient d’améliorer, de rendre plus efficient les services rendus. Bien sûr qu’il convient d’investir. Bien sûr qu’il convient de motiver, faire partager les orientations et former les personnels.

Cette voie n’est que bien peu évoquée.

Induisez des recettes nouvelles en favorisant l’implantation de familles nouvelles, sources d’impôts nouveaux.

Au lieu de revenir sur le fonds de concours du Triskell, favorisez les transports publics.

Engagez vous pour que les services rendus à la population passent en régie publique sur l’agglomération, pour l’eau, pour les transports. Agissez pour que les travaux permettant d’aller vers la transition énergétique permettent à nos artisans et entreprises de travailler.

Merci de votre attention

4 janvier 2015

Bonne année 2015

Les communistes et leurs amis de Ploemeur et Larmor-Plage vous adressent leurs meilleurs voeux pour 2015.

Une année qui s'annonce riche de combats contre l'austérité version Hollande, Valls et Macron, pour que s'impose la vraie modernité, celle qui permet à chacun de travailler et vivre dignement, et qui ne tourne pas le dos aux valeurs de la gauche.

Une année pour dénoncer et empêcher que "les mauvais coups" de la Droite aux affaires à Ploemeur prolonge et aggrave encore les intentions gouvernementales.

Une année pour que  la Solidarité, la Démocratie, l'Ecologie, la Laïcité occupent plus de place sur le territoire de PLoemeur et de Larmor.

Le Bureau de section de Ploemeur et Larmor

15 mars 2015

le RSA, réponses aux questions de la CGT

Avec Régine LE JEUNE,  dans le cadre des élections départementales, nous avons été interrogés à partir des questions ci-dessous.

Dans le cadre de votre mandat d’élu au conseil départemental, allez-vous proposer des consignes précises pour ne pas  supprimer tout ou partie du RSA dans le cadre d’une sanction liée à une non-contractualisation, une recherche d’emplois insuffisante, ou un refus d’offre d’emploi ? 

Dans le cas où vous répondriez par la négative à la question précédente, seriez-vous prêt à tester vous-même la réalité d’un allocataire RSA dans ce contexte d’absence totale de ressources, de réseaux, de soutien et d’aides familiales en prenant en compte l’impossibilité de contracter des crédits bancaires ? 

Afin de rompre l’isolement de ce public, seriez-vous d’accord pour que les  organisations de défense des droits des salariés privés d’emploi du département, y compris les organisations syndicales aient le droit d’affichage dans les  espaces d’accueil des professionnels recevant les allocataires ? 

Voilà nos réponses:

   Par Régine LE JEUNE et Michel LE MESTRALLAN

   FRONT DE GAUCHE-CANTON DE PLOEMEUR


Le RSA, une version libérale du minimum vital pour survivre
Avec La loi du 1er décembre 2008, instaurant le Revenu de Solidarité active, le pays devait se doter d'un outil permettant « d'assurer à ses bénéficiaires des moyens convenables d'existence » et à contrario du RMI écrivaient-ils, « ne devait pas installer les attributaires dans un statut dont ils seraient prisonniers ».
Ni le premier volet : assurer un minimum « convenable », ni le second : permettre de donner les moyens d'une sortie rapide de la pauvreté ne sont satisfaits.
Revenu convenable ? Avec 750€ par mois pour un couple sans ressources et sans enfant et 500€ pour un célibataire, soit de l'ordre du tiers du niveau de vie médian, il n'est pas possible de vivre décemment
Sortie rapide de la pauvreté ? Alors que la pauvreté ne cesse de s'étendre et que la hausse du nombre d'allocataires du RSA s'est encore accélérée.
Alors que la logique du RMI était celle d'une responsabilité sociale, d'une responsabilité de l'économie et de l'emploi dans la situation des individus, qui faisait de l'obtention, de ce RMI un droit, le RSA rompt avec ce principe. Du droit nous sommes passés à la morale, de la responsabilité extérieure à la responsabilité des personnes.
De fait les principes mis en œuvre ne sont plus les mêmes, les attributaires ne sont pas strictement définis. Le barème des ressources ne suffit plus, il faut une contrepartie. Il faut désormais répondre à un ensemble de « droits et de devoirs ».
Par ailleurs, alors que le RMI était tourné vers les sans emploi, le RSA est désormais également destiné « aux salariés pauvres », il supplée aussi les salaires insuffisants des précaires. De ce fait, il subventionne aussi les entreprises qui les versent. Avec le RSA, le contribuable paie pour partie les salaires à la place des patrons, pourquoi augmenter les salariés ?
RMI comme RSA sont les signes patents d'un échec. Qui peut croire que la sortie de la pauvreté est possible, là ou le chômage et la précarité ne cessent de grandir ?
Le recul de la part de l'Etat dans la gestion du RSA fait payer par les contribuables le choix de privilégier la finance aux dépens de l'emploi
Entre 2008 et 2013, la part des dépenses de l'Etat dans la gestion du RMI puis du RSA est passée de 95,2% à 71,3%. Les recettes des conseils généraux ne suivent pas ce désengagement de l'état. Ce n'est pas pour rien que l'asphyxie guette nombre de départements.
En aucun cas, cette situation ne doit conduire à reporter cette pression sur les attributaires du RSA.
Il est vrai que M. Goulard estime nécessaire, avec ses amis de l'UMP, de ne pas s'arrêter à 50 milliards de baisse de la dépense publique et propose d'aller jusqu'à 150 milliards. La faiblesse des dépenses sociales de ce département trouve là son explication.


Un RSA, version Goulard, qui va jusqu'au bout de la logique libérale
A l'instar d'autres questions soulevées par les élections départementales dans ce département : recul des services publics, non application des lois laïques quant à la présence des établissements publics sur certaines parties du territoire, application zélée de l'austérité, politique de réseaux d'influence, la logique libérale du RSA est poussée jusqu'au plus profond de son injustice.
La pression exercée sur les attributaires du RSA est intolérable. Mettons au défi M. Goulard de produire en face de chaque individu privé d'emploi les propositions qui leur permettraient de reprendre une activité à temps plein.


Des réponses sur le fond aux questions du chômage et de la précarité
Oui, élus nous formulerions des consignes précises pour ne pas supprimer tout ou partie du RSA pour les motifs que vous citez. Vous l'avez compris nous estimons indécent de faire des chômeurs et précaires les responsables de leur situation.
Plus encore nous formulerions des propositions précises pour une véritable sécurisation des trajectoires professionnelles avec l'affiliation automatique de chaque résident, dès la fin de la scolarité obligatoire, à un service public et social de sécurisation de l'emploi et de la formation démocratisé et décentralisé.
Ce nouveau service public et social devrait construire un système unifié d'indemnisation du chômage en sortant de la coupure assistance/assurance
Non seulement, vous auriez le droit d'affichage mais dans le service public que nous proposons qui serait ni étatique, malgré la présence des pouvoirs publics dans sa gouvernance, ni étroitement paritaire, la part du patronat étant minorée, la part des organisations syndicales et les associations de chômeurs serait importante. Les représentants des salariés dans la gestion des fonds sociaux d'indemnisation du chômage seraient élus.

15 mars 2015

REUNIONS PUBLIQUES

dans le cadre de la campagne des élections départementales, les candidats du Front de Gauche et d'EELV du canton de Ploemeur organisent 3 réunions publiques:

LUNDI 16 MARS 18h30 salle des Algues à Larmor

MARDI 17 MARS 18h30 salle Port-blanc à Océanis PLOEMEUR

JEUDI 19 MARS 19h salle Robert Jégousse, route de gestel QUEVEN

Nous pourrons débattre ensemble des enjeux de ces élections, de notre programme et de toute question que vous souhaitez nous poser.

11 juin 2015

Ploemeur, à vouloir trop tirer la ficelle...elle casse

Nous découvrons, de jour en jour, les effets de la politique municipale de la Droite dure de Ploemeur.

Les derniers avatars sont ceux qui conduisent les dirrigeants d'associations ou de structures à démissionner.

Les motifs sont divers, mais beaucoup font part des pressions municipales qui ont pesé sur eux au cours de ces derniers mois.

La volonté manifestée par les élus de la Majorité municipale de faire des associations des courroies de transmission de leur politique, décourage et entraîne lassitude et refus de contribuer à des orientations qui, par ailleurs, privent de leur emploi, nombre de personnels déjà en poste.

L'intention de diminuer la masse salariale du budget communal entraîne la privatisation de certaines activités (signature récente d'un appel d'offre avec ADECCO, pour le remplacement temporaire des personnels) et se poursuit avec la recherche de l'utilisation des associations pour prendre en charge les TAP.

Le "donnant-donnant"(une subvention en contrepartie d'une prestation dans les TAP), n'est pas acceptable. La contribution des associations à l'effort de formation et d'éducation ne date pas d'aujourd'hui et c'est une bonne chose, autre chose est de vouloir soumettre les associations à cette démarche.

Par ailleurs, vouloir faire assumer des missions de service public, jusque là assurées par du personnel communal, par des bénévoles ne permet pas d'envisager avec sérénité la régularité et la poursuite du service rendu. C'est pourtant ce qui se passe avec l'arrêt de la présence d'un personnel communal devant les écoles Prévert et Desnos afin d'aider à la traversée du boulevard François Mitterand.

Il ne faut pas se leurrer, c'est bien de réduction des activités assumées par la Mairie dont il s'agit.

Michel LE MESTRALLAN

16 novembre 2015

REACTION DU PCF AUX ATTENTATS TERRORISTES

Face aux attentats, rassemblons-nous pour la liberté, l'égalité, la fraternité, et la paix (Pierre Laurent)

Notre pays vient de vivre l'un des pires événements de son histoire. Les attaques terroristes simultanées de la nuit dernière à Paris et à Saint-Denis, revendiquées par Daesh, faisant à cette heure 127 morts et 200 blessés, sont effroyables. La France est en deuil.

Au lendemain de ce carnage, nos premières pensées se tournent vers les victimes, leurs familles, leurs proches, les témoins et tous ceux dont la vie a été menacée. Pour tous, la douleur est immense. Chacun en France s'en sent profondément meurtri.

Nous saluons l'action des forces de l'ordre, des secours, des urgentistes et personnels de santé et des agents territoriaux dont la mobilisation a été exemplaire ainsi que la solidarité des habitants qui s'est immédiatement manifestée.

Moins d'un an après les attentats de janvier dernier, la République est frappée en son cœur.

Alors que l’État d'urgence vient d'être décrété par le gouvernement, le renforcement des moyens de police et de justice est un impératif. L’État doit trouver durablement les moyens adaptés pour garantir la sécurité de toutes et de tous.

J'appelle notre peuple à ne pas céder à la peur, à se rassembler pour la liberté, l'égalité et la fraternité, et pour la paix. Nous devons refuser les amalgames et les stigmatisations. Ensemble, nous devons rejeter fermement la haine et les racismes.

La France est touchée par la guerre et la déstabilisation qui minent le Proche et le Moyen-Orient. La lutte contre le terrorisme appelle une mobilisation redoublée et des solutions internationales.

Elle ne pourra triompher que dans la mobilisation pour un projet de société solidaire qui place au cœur de tous ses choix l'émancipation humaine, les valeurs de la République et la paix.

Le PCF, ses représentants et ses élus, seront de toutes les initiatives qui, dans les prochains jours, permettront à nos concitoyens de se rassembler pour faire face à cette épreuve et ouvrir un chemin d'espoir pour notre peuple.

Dans ce moment tragique, le PCF a interrompu toute activité de campagne électorale.

 

Pierre Laurent, Secrétaire national du Parti Communiste français,

25 janvier 2016

REPONDONS A L'APPEL DES GOODYEAR

Pour la première fois depuis un demi siècle un gouvernement a demandé que soit requises des peines de prison ferme contre des syndicalistes pour avoir participé avec les salariés à des actions en vue d’empêcher la fermeture de leur usine.

En même temps qu’ils préparent la suppression dans quelques mois de plus de 1000 articles du Code du travail, Hollande, Valls et Macron ont décidé de déclencher une répression sans précédent des syndicalistes qui luttent dans les entreprises.

Avec les 8 condamnés de GOODYEAR l’exécutif veut faire un exemple.

Le gouvernement affiche sa volonté de mettre les Procureurs et les forces de polices aux services des grands groupes pour briser toute résistance à la destruction des emplois et de l’industrie.

Evidemment les militants de terrain en général et ceux de la CGT en particulier sont les plus touchés.

 Nous pouvons être des millions à faire reculer Hollande, Valls et Macron en commençant par leur imposer l’arrêt des poursuites contre les 8 de GOODYEAR et en organisant le plus grand rassemblement solidaire en prévision de l'appel.

Témoignage tellement juste de Mickael Wamen, ex-Goodyear - Le Grand Journal - Canal +:

 http://www.canalplus.fr/c-divertissement/c-le-grand-journal/pid5411-le-replay.html?vid=1350592&sc_cmpid=SharePlayerEmbed

Je signe l'appel Nous Sommes Tous Des Goodyear:

https://www.change.org/p/fran%C3%A7ois-hollande-l-appel-des-goodyear

 

La mobilisation de toutes et de tous est indispensable contre la criminalisation de l'action syndicale pour la défense de l'emploi et l'outil de travail

26 janvier 2016

avenir des écoles publiques

La décision de M. Loas de quitter la salle de réunion du comité de pilotage de l'école en raison de la présence d'un public qu'il n'avait pas choisi est symptomatique de la gestion de ce dossier et de nombreux autres. PAS de dialogue, pas d'échange d'arguments, M.Loas craint la confrontation. La proposition d'un conseil municipal extraordinaire ouvert à la discussion avec le public aurait pu aider au débat, encore eut-il fallu disposer d'un ou plusieurs projets.

RAPPELONS que nous avons été invités par les parents à participer à ce débat. Nous avons suivi leur sollicitation d'entrer dans la salle. Les parents sont majeurs, ils pilotent leurs actions. Nous sommes très attentifs à ne pas interférer dans leurs décisions. Nous nétions pas en gilet jaune. Aucun debordement et une réelle volonté d'écouter et d'échanger de la part de tous, sauf de...

Pour autant que l'on ne compte pas sur nous pour rester silencieux sur cette question. Nous avons un avis et des propositions. Nous les avons fait connaître, devant les écoles et dans les allées du marché. Il n'y a là rien de plus démocratique. Il y a d'autres formes de communication que l'usage de facebook et autres outils informatiques.

Sur le dossier lui-même, nous restons convaincus qu'il ne peut être abordé avec les économies comme seule boussole.

C'est bien l'intérêt des enfants qu'il convient de rechercher. Jusqu'à cette rentrée , quoique peuvent prétendre certains, il n'y avait pas d'école avec une seule classe sur la commune. L'aggravation est récente et sa gestion est de la responsabilité du Maire actuel, comme celle de créer les conditions de l'arrivée de familles avec enfants.

Il n'a y toujours pas urgence à fermer ni Gauguin, ni La Châtaigneraie.

La situation de Cadou est différente  mais pas urgente pour autant.

Il faut d'abord construire un projet global de scolarisation avec les acteurs, avec les engagements respectifs de chacun.

Ce que nous savons, dès maintenant, c'est que l'option retenue fait perdre un demi - poste de professeur des écoles. CQFD

Monsieur l'Inspecteur, ne dissimulez pas la recherche du gain de postes derrière la pédagogie et notamment la recherche d'une continuité maternelle - collège dont l'intérêt reste à démontrer pour des enfants de la maternelle. De même, le fait de demander à  Ploemeur de payer pour les écoles en REP supposerait que celles-ci disposent de moyens supplémentaires non negligeables, ce qui est bien loin d'être le cas. Les écoles en zone difficile ont besoin de moyens supplémentaires mais pas en supprimant des postes dans les autres écoles.

Michel Le Mestrallan

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

QUOI de plus normal que des citoyens, des élus s'invitent dans un débat d'une telle importance pour l'avenir de la cité !

Ce dialogue s'est déroulé, sans le Maire et son adjointe, mais en présence et avec la contribution de l'inspecteur de l'éducation nationale.

 

 

 

10 juin 2016

ACTIONS CONTRE LA LOI-TRAVAIL, l'engagement de ploemeurois et larmoriens

POUR UN CODE DU TRAVAIL DU 21ème siècle

Citoyens de Ploemeur et Larmor-plage, adhérents ou sympathisants du parti communiste français, adhérents de l’association du front de gauche du pays de Lorient, nous renouvelons notre soutien et notre engagement auprès de tous ceux qui depuis 3 mois exigent le retrait du projet de loi-travail, recul  historique  et réponse aux seuls intérêts du MEDEF. En s’engageant dans « un bras de fer » avec les syndicats qui refusent de se plier au diktat, ce gouvernement a plus que jamais perdu toute légitimité à représenter le monde du travail.

Nous partageons avec celles et ceux qui luttent, les contenus d’un droit du travail du 21ème siècle dans lequel la place de la femme et de l’homme au travail seront mieux reconnus.

Nous soutenons les citoyens, les organisations syndicales qui malgré les pressions, les insultes, les discours mensongers, la violence sont sans relâche dans le combat.

Nous réaffirmons notre volonté de poursuivre les actions.

contacts:

 Michel LE MESTRALLAN 06.72.80.84.49

Marie Caroline LEFEUVRE 07.86.74.85.48

29 juillet 2016

L'horreur a de nouveau frappé

réaction du PCF suite au drame de St Etienne du Rouvray

 L'horreur a de nouveau frappé avec le lâche et abominable assassinat de Jacques Hamel, le prêtre de l'église de Saint Etienne du Rouvray. Nous adressons nos pensées  à la famille, à la communauté catholique, à la population de Saint Etienne du Rouvray, à son maire, Hubert Wulfranc. Face à cette nouvelle tragédie, notre pays est confronté à un immense défi : vaincre Daech, assurer une meilleure sécurité pour nos concitoyens dans un état de droit, faire grandir dans notre société, par l'intervention populaire et citoyenne, les valeurs de solidarité et de progrès pour tous. Que les petits jeux politiciens et les surenchères irresponsables s'arrêtent pour un débat démocratique allant au fond des questions afin de mieux agir.

 

Après le drame effroyable de Nice, le crime commis aujourd’hui vient nous replonger dans l’horreur. Nos pensées vont vers les victimes et leurs proches, vers les croyants qui fréquentent cette église et vers la population de cette ville meurtrie. Nous ne pouvons pas admettre cette violence insensée, nous ne pouvons pas accepter ces gestes monstrueux. Ils révèlent à quel point notre société est malade et combien des individus y sont fragilisés, au point de sombrer complètement. Quand une société peine à respecter l’humain, quand elle s’affranchit de construire la paix, elle donne prise à des entreprises totalitaires et à des manipulations comme celles de Daesh.  Il faut empêcher cette organisation de nuire.

 

Et ne pas écouter les matamores qui prétendent tout régler par la force et les privations de libertés, les charlatans qui en profitent pour attiser les divisions, les affrontements et les stigmatisations, les arnaqueurs qui se servent de ces drames pour alimenter des visions du monde fondées sur un patriotisme va-t-en-guerre.

 

Nous devons construire des réponses face aux menaces. Mais cela sera impossible sans s’attaquer aux causes qui produisent ces effets. Nous devons donc refuser de céder à la peur-panique et de sombrer dans cette engrenage de haine, stupide et dévastateur. Face à cela, rien de ce qui nous fait humains ne doit s’estomper.

 

Il existe des forces nombreuses, des hommes et des femmes nombreux, par-delà leurs origines ou leur religion, qui refusent ce monde de terreur. C’est la capacité de notre peuple et des peuples du monde à produire à nouveau de l’avenir qui saura éteindre ce cauchemar. L’avenir de l’humanité est dans la paix, la coopération, la liberté, l’égalité et la fraternité. Y renoncer, ce serait cela, capituler. Que notre révolte nous serve à faire grandir l’humain dans l’humanité.

 

 
   
29 juin 2017

CHATEAU DE SOYE

Copie de la déclaration à la presse sur cet épisode désolant:

Bonjour,

dans un premier temps, je ne souhaitais pas intervenir dans le débat
désolant sur l'évolution de château de Soye mais il se trouve que les
contre-vérités s'accumulent.

L'achat a été validé au conseil municipal du 28 mai 2015 avec les voix
de toute la majorité.

2 bordereaux ont acté ces achats.

Un premier avec le château (j'insiste sur la dénomination) et le jardin.
Il n'est pas possible de soutenir que le prix serait symbolique. Le
montant a été de 100 200€

Un second portait sur l'allée du front populaire pour un montant de 125
400€.

Ces acquisitions foncières ont "pesé lourd" sur les finances communales.
Elles pouvaient servir à d'autres  acquisitions foncières permettant la
construction de logements. Aujourd'hui, c'est sous la contrainte et les
menaces du Préfet face aux non-respect des engagements et de la
règlementation que s'opère la volte-face dont je me félicite.

Pour autant, il n'est pas possible de laisser dire que ces achats
n'auraient pas eu une influence sur les orientations de la commune. Cela
fait 3 ans que nous portons l'accent sur les retards accumulés.

Pour M. Loas, il convient désormais de se sortir d'une situation
politique, administrative et financière dont il porte avec sa majorité
toute la responsabilité

Cordialement

Michel LE MESTRALLAN

5 avril 2018

conseil municipal, droite et logements sociaux

L'une de mes interventions au conseil municipal d'hier soir, mercredi 5 avril

carence en logements sociaux et argumentation

 A l'occasion de ce dossier, comme pour d'autres, vous répétez sans cesse les mêmes arguments, "éléments de langage" visant à gommer votre responsabilité:

 1) Un passif qui proviendrait de la précédente équipe municipale

Rappelons que vous dirigez la commune depuis 4 ans maintenant. Le rappel systématique des scories de l'ancienne municipalité prend des allures de disque rayé.

Bien évidemment que la construction d'une ville se construit sur la durée. rappelons que l'étalement urbain relève de la politique de M.Godard, Maire d'il y a maintenant quelques décennies. Quant à nous, nous n'avons pas utilisé cet historique.

Maintenant que ce dossier de carence vous rappelle que durant 3 périodes triennales, sous l'ancienne municipalité,  l'objectif assigné en logements sociaux a été largement dépassé, vous êtes contrarié dans votre argumentation. Les mensonges de votre prose du journal municipal apparaît au grand jour. Au cours de cette dernière période triennale, seuls 50% de l'objectif assigné à la commune ont été atteints.

 2) Une première partie de mandat sous la coupe de votre 2ème adjoint

M.Tonnerre sert de fusible aisé au retard accumulé, aux orientations à contresens des besoins et de la règlementation.

Pour vous sortir de ce cette voie vous faites le choix d'utiliser l'un de vos anciens alliés. Si M. Tonnerre s'est exposé à ce genre de situation, nous pensons qu'il s'agit là d'une absence de courage. le maire depuis 2014, c'est vous. Vous continuez à orienter une grande partie de l'argent ailleurs que sur les investissements fonciers. Vous avez des choix courageux à faire, vous ne l'avez pas fait, désormais on vous y oblige. Nous nous en félicitons. Il est regrettable que dans cette affaire, la ville perde une bonne partie de ses prérogatives.

 3) Des opposants extrémistes et destructifs

Là encore, pour diviser, pour stigmatiser, vous nommez, vous ciblez. Vous n'êtes pas dans le débat d'orientations mais dans la volonté de détruire en nommant.

Vous choisissez "les bons opposants", ceux qui vont dans votre sens. Que voilà une drôle de conception de la démocratie !

Nous ne sommes pas dupes de vos intentions. Nous invitons les ploemeurois à mesurer la violence que vous véhiculez.

Quant à nous, riches de nos différences, et d'un rassemblement renforcé par ces années de travail en commun, nous nous refusons à nous livrer à cette attitude politicienne.

Qui est extrémiste ? Ceux qui votent positivement lorsque qu'ils estiment que les choix vont dans le sens des habitants ? ceux qui  argumentent et formulent des propositions sur chaque dossier ? ceux qui dessinent une ville juste et solidaire, ou bien celui qui à l'instar d'un M.Wauquiez, Président de votre parti, exclut, vilipende.

Non, vraiment votre attitude, outre qu'elle exprime un énervement évident, n'est pas à la hauteur de ce que méritent les ploemeurois !

Michel LE MESTRALLAN

15 novembre 2019

PLOEMEUR, CONSEIL MUNICIPALovembre 2019

Partie 2, la situation de la collectivité

2.     La situation financière de la collectivité

Il est bien entendu possible de retrouver dans les bilans de la commune les conséquences si lourdes des politiques nationales. Vous évoquez la perte de 1,120millions d’euros jusqu’en 2017 mais il conviendrait d’ajouter 2018 et 2019. Entre 2014 et la prévision 2020 cette dotation passe de 3,2 millions à 2,5 millions. Les crédits d’équipement auront baissé de 2 millions d’euros.

Soyons clairs, derrière les chiffres, c’est moins d’investissement, moins de services. Vous pouvez parler d’améliorations, d’efficacité mais nous pouvons entendre plus de travail, plus de stress au travail, mois de services rendus, mois de remplacements, moins de prise en charge des équipements et des infrastructures et des espaces naturels.

Parlons de la dette. L’emprunt aura été votre levier principal depuis 2014.

Tout d’abord, je note  qu’il conviendrait, pour faire le point de la dette de votre mandat,  de partir de celle du compte administratif de 2013, voté en 2014 et non pas de celui de 2014 qui lui a été voté en 2015.

2014, c’est la première année de votre prise en charge de la commune.

Elle a été marquée par vos décisions et elles ont été aussi nombreuses que catastrophiques avec l’arrêt de la ZAC de grand pré Keradehuen, si coûteuse en habitants qui ne sont pas venus, et en obligation de reprendre 1million d’euros crédités et qui seraient revenus par les ventes des terrains si la ZAC avait poursuivi son chemin. La dette au compte administratif de 2013 était de

13, 283 millions d’euros. Vous avez donc passé cette dette à plus de 17millions d’euros.

 Utiliser l’emprunt n’a rien de condamnable ? Mais que chacun le sache, c’est plus opaque que l’évolution de la fiscalité, et beaucoup moins douloureux politiquement. Le remboursement reste néanmoins à produire. Une dette pour des infrastructures qui produiront de l’énergie, pour diminuer les coûts cela peut être une dette positive.

Par ailleurs vous avez bénéficié d’un coût des emprunts à niveau inégalé. Tant mieux mais ce levier ne va pas durer et vous l’avez largement épuisé.

15 novembre 2019

PLOEMEUR, CONSEIL MUNICIPAL NOVEMBRE 2019

 

3.    Les orientations budgétaires que vous proposez pour 2020

Sur le fonctionnement

Sur les charges générales

Une provision quant au choix de l’externalisation des prestations d’entretien des nouveaux

bâtiments (PMK, maison des ploemeurois) et des bâtiments sportifs actuels (+80 K€),

Je souligne la poursuite du « lâchage en rase campagne » des services publics de cette commune. Après la fermeture de 2 écoles maternelles, la privatisation du remplacement des personnels, la privatisation de l’EHPAD, c’est maintenant l’externalisation du nettoyage de bâtiments communaux qui est envisagée et pas n’importe lesquels. Nouveaux, écrivez-vous mais ces espaces existaient ailleurs avant de connaître des évolutions (le centre technique ou la maison des associations) et s’y ajoutent les installations sportives. Excusez du peu, ce sont des surfaces considérables qui vont être confiées au secteur privé. Au-delà du fait même de ces privatisations, les personnels du service public sont des femmes et des hommes que nous retrouvons dans la ville, bien au-delà de leur mission première. 

Je rappelle également que le fameux contrat ADECCO, vanté avec tant de force par vous-même et Mme Téaki est désormais réduit à sa plus simple expression, pas seulement en raison de son coût exorbitant mais également par l’absence de réponses adéquates aux besoins et par votre intention de procéder à des remplacements en moins grand nombre. Non seulement vous ne tirez pas les leçons de l’expérience mais vous allez plus loin dans l’erreur.

Sur la gestion des personnels, je fais savoir que j’ai demandé en commission la transmission de la totalité du bilan social de la commune et que je ne l’ai pas obtenu. J’espère que sa transmission ne nécessitera pas le délai de celui de l’enquête de l’UNICEF auprès des enfants ploemeurois que je viens enfin de recevoir après plusieurs demandes et plusieurs mois d’attente. Il serait encore plus grave que je doive faire appel à la CADA (commission d’accès aux documents administratifs).

Vous soulignez, à juste titre, les modifications règlementaires qui viennent d’être décidées par l’État quant au statut des personnels territoriaux, je fais savoir combien ces bouleversements précarisent un peu plus les personnels et alignent sur le secteur marchand leur gestion, ce qui ne devrait pas vous déplaire. L’avenir des personnels de Ploemeur va dépendre pour beaucoup des prochaines échéances électorales.

Sur les projets d’investissement pour 2020

Constatons tout d’abord que les ponctions majeures effectuées par l’État sur les collectivités conduisent à baisser les marges d’autofinancement, à ce titre le tableau des marges d’épargne est parlant. Malgré tous les efforts sur les crédits de fonctionnement, la boucle est bouclée. L’os est atteint et les capacités d’investissement se réduisent comme « peau de chagrin ».

Notons la faiblesse du chiffre, 5 millions d’euros, nettement en deçà de la moyenne des dernières années, qui était supérieure à 6 millions d’euros.

Notons également l’absence de précisions quant à la ventilation entre les 5 volets. Nous savons tous que des projets comme ceux que vous citez peuvent prendre des volumes bien divers.

Nous rappelons que la signature du contrat d’attractivité touristique si elle occasionne des rentrées pour des investissements ne couvre que très partiellement les dépenses et celles-ci restent conséquentes pour la ville, exemple avec la voie vélo de kerjoël à St Mathurin dont nous félicitons de la mise en place.

Pour conclure, rien de neuf dans ces orientations budgétaires.

Ce conseil n’est que bien peu renseigné sur vos intentions réelles. Nous aurions souhaité entendre -  - nouvelle résorption de l'auxiliariat des personnels

- des bâtiments communaux, au-delà de la piscine ou des déplacements doux, concernés par un plan pluriannuel de mise en place d'énergies renouvelables. La chaudière bois c’est une bonne chose mais, à ce rythme,  l’urgence climatique aidant, le chemin sera trop long à parcourir.

- Nous aurions souhaité des projets hiérarchisés et décrits avec des masses financières, même approximatives, ce n'est pas le budget, mais quand même ! 

- Nous constatons que des sommes devraient être consacrées aux achats de terrains pour favoriser l’implantation de logements locatifs. Enfin, mais dans quelle proportion ?

Enfin, parce qu’il aura fallu attendre cet avant dernier conseil municipal pour lire cela et la pression de l’Etat pour que cela se produise. Que de retard pris ! Que d’occasions manquées !

Il est vrai qu’il en va de même avec de nombreuses mesures décidées dans l’urgence pour verdir le tableau à la veille des échéances électorales.

Je voudrais terminer sur notre propre attitude. Nous avons systématiquement assorti nos critiques, quand critiques il y a eu, de propositions et je vous signale, pour en avoir fait le décompte que, en 2018, nous avons exprimé des votes favorables sur  68% des bordereaux que vous avez proposés. Nous avons voté contre dans 12% des cas.

 Les extrémistes, ceux qui ne respecteraient pas le pacte républicain,  vous allez devoir aller les chercher ailleurs M.Loas.

Merci de votre attention

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